L'exactitude des mesures du rayonnement net peut faire une énorme différence dans la recherche et la gestion des cultures et de l'eau. Une différence de 10% dans une mesure peut entraîner un assèchement excessif ou insuffisant, ou des conclusions de recherche erronées. Les utilisateurs ont besoin d'une plus grande précision que cela.
Les chercheurs et les experts agricoles se sont rendu compte que les modèles informatiques et les radiomètres imprécis peuvent causer de telles erreurs. Et ils ont constaté que les rayonnements nets à quatre composantes de haute précision existants présentaient certaines faiblesses, comme leur grande taille, leur consommation d'énergie élevée et leur coût élevé. Ils étaient également complexes à mettre en place et utilisaient de nombreux fils et ports d'entrée pour gérer les données et les besoins d'alimentation.
La solution au besoin de précision a été résolue avec le développement de radiomètres nets à quatre composants, avec des capteurs orientés vers le haut et vers le bas pour le rayonnement à ondes courtes et à ondes longues. Mais les premiers capteurs à quatre composants présentaient encore des problèmes de taille, de coût et d'alimentation.
Apogee Instruments (un partenaire de Campbell Scientific) a compris ce que les utilisateurs lui ont dit et a conçu le SN500SS. Travaillant depuis plusieurs années sur le sujet, Apogee a réduit la taille, la consommation d'énergie et le prix à un niveau bien inférieur à celui des radiomètres nets existants, tout en égalant les performances et en surpassant en simplicité et robustesse. Le SN500SS comprend une électronique embarquée qui convertit le signal en numérique, et les utilisateurs ont la possibilité d'utiliser les données des différents capteurs séparément ou en combinaison.
Le capteur n'utilise qu'un seul port de communication, un seul port d'alimentation et une seule masse, ce qui simplifie l'installation et réduit les points d'erreur possibles. Ceci laisse également plus de voies disponibles sur la centrale de mesure pour d'autres instruments. Le chauffage intégré consomme très peu d'énergie et l'encombrement du capteur est réduit, ce qui permet aux utilisateurs de l'intégrer plus facilement dans leurs systèmes ou stations météorologiques.